i would like to be good but i'm not.. kidding i don't want to be (aymeric)

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Aymeric HollowayInfos généralesHistoireSujets de RP→ Nom : Aymeric Holloway.
→ Âge : 35 ans.
→ Métier/occupation : Arnaqueur.
→ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
→ Situation : Célibataire. Trop bien tout seul.
→ Famille : Famille ? C'est quoi ? Ça se mange ?
→ Groupe : Living in the city.« Judith, je ne peux pas faire ça… C’est plus fort que moi, je ne peux pas assumer mon rôle de père. Je préfère partir. C’est préférable pour Aymeric et toi. »

Aymeric, le prénom qui venait de sortir de la bouche de cet homme lâche et traître, il ne s’agissait de son fils, Aymeric Holloway. Né dans les quartiers populaires de Leeds, en sud de l’Angleterre. Ces mots-là, il les a entendus à l’âge de six ans depuis sa chambre. Quelques temps avant, il se souvenait avoir surpris son père en train de faire ses valises. Il s’est satisfait d’une réponse telle que ; « Je dois partir en voyage, fiston ». A son âge, évidemment, il n’a nullement compris les mots qu’il venait d’entendre. De ce fait, dès qu’il entend la porte d’entrée s’ouvrir, il sort en furie de sa chambre pour venir enlacer son père. « Reviens vite. Je t’aime, papa », il se souvient que l’homme est partit sans rien dire et avoir vu sa maternelle s’enfermer dans sa chambre en pleurs. Le petit garçon ne s’est pas posé de questions, après tout, à l’âge de six ans, rares sont les enfants qui ne pensent pas que tout est parfait sur Terre. Aymeric faisait partie de ces enfants. A l’école, il avait toujours la tête dans les nuages, il s’imaginait son propre monde et y restait aussi longtemps qu’il le pouvait. De ce fait, il n’a compris que très tard que son père ne reviendrait jamais, qu’il les avait abandonné sa mère et lui. Il devait avoir dix ans lorsqu’il a compris. Il l’aura d’ailleurs appris de la pire des façons, pendant une réunion parents/professeur. Comme bien souvent, le professeur a fait remarquer à la mère de famille qu’Aymeric était un très bon élève mais qu’il était bien trop distrait. De fils en aiguilles, Judith qui portait dorénavant son véritable nom, Walker finit par parler de l’abandon de son mari comme de la raison pour laquelle son fils était tant dans ses pensées. C’est en rentrant chez lui qu’il eue le déclic en regardant des photos qu’il gardait dans sa table de nuit, des photos de celui qui l’a lâchement abandonné pour Dieu seul sait quelle raison.

A partir de ce moment, le petit Holloway n’était plus du tout le même. Auparavant un enfant assez calme, il commença à se révolter contre tout le monde et n’importe qui. Il n’était plus du tout ce jeune homme adorable, souriant et toujours prêt à faire des blagues, aussi ridicules soient-elles. Plus les années passaient, moins il montrait le même intérêt pour les cours, pour les personnes autour de lui. Il était devenu méchant, distant, froid et hautain à souhait. Arrivé à l’âge de quinze-ans, il n’a cessé de changer de lycée. Sa mère a dû déménager et trouver du travail dans trois villes d’Angleterre différentes à cause de son mauvais comportement. La solution finale fût de l’envoyer dans une école privée et reconnue pour être l’une des plus stricts et ayant une bonne influence sur les adolescents devenus rebelles. De belles foutaises pour Aymeric. Mais c’est à cette époque-là qu’il apprit qu’il n’était pas uniquement doué pour s’attirer des problèmes en tout genre, c’est là qu’il a appris qu’il est doué en ce qui concerne la manipulation et qu’il était un menteur hors-pair. Prétendre qu’il avait changé ? Tout le monde y a cru ! Malgré tout, il a quand même réussi à être diplômé, principalement parce qu’il a triché à ses examens mais il ressort de cette écolé faisant croire à tout le monde qu’il est partit sur de bonnes bases, qu’il est prêt à prendre sa vie en main.

Il va à Londres. Pour la première fois, il découvre la capitale anglaise. Ce petit joyau du Royaume-Uni. Là-bas, dans le plus grand des hasards, il fait la rencontre d’un homme bien plus âgé que lui, d’une trentaine d’années. Il a surpris Aymeric à voler dans un magasin. Contrairement à ce que n’importe qui aurait fait, c’est-à-dire faire un sermon au jeune homme rebelle, il l’aide à voler ce paquet de chips. Cet homme qui donna le nom de « Sawyer », pour ne pas révéler sa véritable identité, à l’anglais, le pris sous son aile. Toutefois, ce dénommé « Sawyer » n’était en rien une bonne personne. Au contraire, il a connu, à quelques détails près, la même situation qu’Aymeric. A cause de ça, il représentait pour le rebelle une figure paternelle, une figure qu’il n’a jamais réellement eu l’occasion de connaître. Ce nouveau père n’était autre qu’un escroc, un arnaqueur. Avant qu’il ne rencontre le fils Holloway, il tentait d’escroquer une femme mariée, puissante, riche et co-présidente d’un des casinos, si ce n’est, le casino le plus connu de Londres, l’ « Hippodrome Casino London ». Etant devenu son exemple, très rapidement, le jeune homme demande à apprendre, à vouloir faire tout comme lui, être un escroc, un arnaqueur, un briseur de cœur, un voleur. Sans bronché pour la simple et bonne raison qu’il possédait encore moins de jugeote qu’un jeune homme sortant petit-à-petit de l’adolescence, « Sawyer » lui apprend tout ce qu’il y a à savoir sur ce métier des plus illégales. Pendant des années, il a observé son modèle, à regarder ses méthodes pour, aussi facilement, manipuler des femmes intelligentes et pour la plupart, brillantes. Au fur et à mesure, Aymeric l’aidait même à voler plus facilement et rapidement l’argent de ses femmes en faisant passer Aymeric pour son fils qu’il venait de retrouver et qui était atteint d’une maladie grave et incurable mais qui tentait de profiter de la vie malgré tout. Cette histoire marchait tellement bien, à la perfection, même. Ensemble, ils faisaient un duo des plus vicieux, sournois et manipulateurs qu’est connu l’Angleterre.

Un jour, « Sawyer » tombe cruellement malade. Un cancer du foie le touche et il n’y a pas de retour en arrière, même une greffe de changera rien à son état des plus pitoyables. Aymeric, très attaché à celui qui lui a tout appris reste à son chevet, à le pleurer. Cependant, l’arnaqueur l’encouragea à partir, partir loin, partir à la recherche d’autres casinos, d’autres femmes à manipuler. Il prit ses mots à la lettre. Grâce à ça, il ne le verra jamais mourir. Et l’élève ayant surpassé le maître, part avec tout l’argent qu’ils ont gagné pour partir dans un autre continent : les Etats-Unis d’Amérique. Un nouveau commencement, une possibilité de faire mieux que ce qu’il a tout appris. Et il le fera mieux. Bien mieux. Il saura mieux choisir les femmes que ce cher et regretté « Sawyer » peut-être bien parce que ces femmes tombent toutes raides dingues de cet homme aux yeux bleus envoutants et de ce sourire angélique qui ne laisse pas du tout soupçonner ses véritables intentions en l’espace d’une dizaine de secondes.

A lui tout seul, Aymeric fit de nombreux états. A trente ans, il avait bien plus d’argent que certains PDG américains. Il avait encaissé une telle fortune en cinq ans, il pouvait arrêter de faire ça et se trouver une femme, construire une famille… quelle foutaise ! L’histoire de sa famille, la lâcheté de son père ne lui donnait nullement envie d’avoir une famille, d’être père, d’aimer quelqu’un. Non, Aymeric en voulait plus. Il a toujours été très orgueilleux, il a toujours voulu plus que ce qu’il n’avait et ça ne faisait que continuer de la sorte. C’est ainsi que le séduisant brun se trouve à Chicago.
→ Highway to Hell ft. @Clay Hailfield© 2981 12289 0

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LES FEMMES D'ABORD@Clay Hailfieldintitulé du lienUC.@Maxym L. Turnerintitulé du lienUC.© 2981 12289 0

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PUIS LES MESSIEURS@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.© 2981 12289 0