pseudo au complet : au choix date et lieu de naissance : date au choix, lieu de naissance je recommence Chicago directement. Il doit avoir entre 33 et 37 ans. occupation dans la vie : au choix statut social : $$$$$ (au choix) situation amoureuse : au choix trois qualités et trois défaults : au choix avatar : Adam Gallagher, Armie Hammer, Chris Wood, Colton Haynes (n'importe quel acteur/mannequin qui a les yeux bleus, surprenez-moi~) groupe : au choix
(01) Famille : Vous établissez son lien familial. S'il a des soeurs, des frères. Parents unis, divorcés. Problèmes familiaux. (02) Amitiés : Même chose. Il peut avoir eu un réseau immense d'amis à l'école et les avoir perdus au fur et à mesure. Avec un petit réseau d'amis et être très près d'eux. (03) École : Niveau scolaire à votre choix. S'il était studieux, s'il aimait déconner, intimider les autres, quoi que ce soit. (04) Le jeune homme était un sportif. Peu importe la branche que vous lui donnez. (05) Assez jeune, il est tombé amoureux du phénomène Candice Wolfswood. Alors que tout le monde n'y voyait rien de bien intéressant. (06) Il est devenu père alors que Candice n'avait que 17 ans (elle en a 33 maintenant, l'âge de votre personnage dépendra de cette information). C'est le père de Orion (personnage joué sur le forum). (07) Devant l'incapacité de tenir le rôle de père au même point que Candice ne parvenait pas à être une bonne mère, il a pris des plis alcoolique. (08) Tous les deux ont rompus, mais n'ont aucune animosité l'un contre l'autre. (09) Ce qui se passe par la suite est tout à fait à votre choix. S'il continue de boire. S'il voit régulièrement son fils. S'il s'entend bien avec lui. Ce qu'il fait comme métier. S'il est de nouveau en couple ou continue d'être célibataire.
Spoiler:
Citation :
6 : Ils (les grands-parents de Candice) sont jeunes, malgré la sagesse dans leur regard. Ils ont du vécu, malgré leur vie courte. L’armée, les blessures, les malades imaginaires. La reconnaissance littéraire, les soins gracieux, l’amour pure. L’amour qui agresse, douloureux. L’amour sincère, l’amour imparfait. Lorsque Candice découvrit les merveilles d’un prince charmant pour elle seul, son univers se fracassa au sol. La dépendance, le désir, l’attention. Ses yeux océaniques qui longeaient son âme, qui anéantissaient ses nerfs. Elle était amoureuse. Il avait trouvé la grâce dans ses gestes sportifs. Il avait vu la beauté derrière la terre. L’amour simple. L’amour odorant. L’amour qui pince le cœur.
7 : Les vêtements amples, les détours aux toilettes réguliers, les changements alimentaires. C’était un secret. Un secret pour ses parents, pour son copain. Un secret pour soi-même. Des larmes à chaque nuit, des caresses réconfortantes contre son bas-ventre. Des doutes et des craintes. Bientôt le ventre trop large. L’ampleur dans des paroles qui se serrent dans sa gorge. La vérité tombe et elle refuse d’entendre quoi que ce soit de personne. Elle voulait faire face à ses démons par elle-même. De toute manière, elle le savait bien. Dix-sept ans, c’est beaucoup trop tôt.
8. Orion, murmure-t-elle dans la nuit, logée dans les bras de son homme. Ses lèvres qui se glissent sur son front fragile. Baiser apposer, réconfortant, guérisseur. Et ce, jusqu’à l’âge où il tourne la tête pour cesser la marque de tendresse futile. Ce baiser de bons rêves, de cauchemars chassés. Elle ne savait pas à quel point elle devait louanger ses parents. Alors qu’elle et le père se laissaient toujours noyer par la panique à la moindre occasion. Incapable de comprendre le fonctionnement d’une nouvelle vie. Même si la pauvre Candice gardait en elle une fibre maternelle naissante, protectrice. Incapable d’allaiter. Incapable de le calmer. Pourtant pas très criard. Assez calme comme enfant diront ses parents. Elle ne savait pas pourquoi elle n’y arrivait pas.
9 : C’était psychologique. Ça commençait à lui faire mal. À raccourcir les nuits. À éveiller les doutes. L’odeur qui collait à ses vêtements. Ils n’étaient pas fort à deux. L’une tentait de garder la tête haute dans le doute personnel, l’un préféra aller boire et ruminer sur son rôle dans cette vie. L’amour s’effrite. Les cris s’élèvent. Les chicanes s’enveniment. Cinq ans à essayer. À trop forcer, trop pousser. À pleurer des je t’aime douloureux. À crier des j’te déteste libérateur. Tout se brisa. Décisions pénibles qui froissent les cœurs. Une évidence qu’elle gardera l’enfant. Une évidence qu’il pourra tout de même le voir. Quand il le veut. Car les deux amoureux se sont abandonnés dans la douleur, mais pas le mépris.
candice wolfswood : Vous deux. C'était peut-être trop beau. Trop tôt. Trop précipité. Trop pur. C'était nouveau pour tous les deux, ce sentiment qui renverse le coeur et les entrailles. Vous vous êtes lancés dedans la tête première et vous n'avez pas regarder les misères qui pouvaient s'élever devant. Un enfant. Une panique. Une bombe. On dit que parfois, un nouveau-né règle le venin des couples. Ça a brisé le vôtre. Par votre inexpérience et votre peur. Vous vous parlez encore au téléphone. Ça vous arrive encore aujourd'hui de vous croiser pour un café. Douze ans que vous n'êtes plus ensemble et pourtant, y'a encore ce fil rouge qui ne semble pas vouloir se briser entre vous deux. Parce que t'as été le seul à faire battre son coeur d'une manière qu'elle n'aurait jamais pu croire imaginable. Et que tu ne cesses encore de le faire chanter d'une mélodie mélancolique. Et derrière la porte fermée, vous ne savez toujours pas si vous faites une gaffe ou si des portes s'ouvrent devant vous.
orion wolfswood : En résumé, c'est ton fils. Le pauvre a pris des mauvais plis. Pas assez d'attention. Pas assez de communication. Trop souvent abandonné chez les grands-parents. L'attention, il la pêche ailleurs. Il la pêche dans les rues. Il la pêche là où on se sent fort. Là où les bêtises peuvent faire mal. Là où il se sent prisonnier. L'père, il ne le voit pas, il ne le voit plus. Des cadeaux perdus à chaque anniversaire. Des mensonges, des rêves. Orion, il n'a pas de héros.
ATTENTES & EXIGENCES:
T'as survécu à tout ce blabla extrême et ces trente-deux "au choix" ? Félicitations ! Et surtout, merci de t'intéresser à mon scénario. J'espère que tu vas succomber, parce qu'en fait, je te réserve un peu de drama sous Candice. Après, j'sais pas comment ça va se passer avec Orion mais je suis certaine que vous pouvez vous trouver un truc sympa tous les deux. ~ Personnage: Alors, il est entièrement libre. Ou presque. Les points que j'ai précisé sont à respecter. Pour le reste, amusez-vous. Appropriez-vous le personnage au maximum ! ~ Avatar : Comme le trois quart de la fiche, il est aussi libre. J'ai offert quelques choix que j'aime bien, mais sincèrement, vous prenez qui vous voulez. il doit seulement respecter la tranche d'âge, la différente offerte par le règlement et avoir les yeux bleus (faut pas qu'Orion est l'air d'être le fils du facteur quoi ~). Lien : Je ne crois pas que le lien pourra redevenir un lien "love". Je crois qu'ils ont eut leur chance et que ça n'a pas fonctionné. L'amour de jeunesse quoi. Y'en a pour peu que ça fonctionne jusqu'au bout. J'crois tout de même qu'il serait intéressant de les voir "réessayer" et de foncer dans un mur malgré les tensions et les désirs muets. J'espère que ça te branche. (Allo le drama si ton monsieur fréquente quelqu'un. J'aime le drama, faut m'excuser). Présence : Tant que tu respectes ce que le règlement demande. Tant que tu ne disparaisses pas au bout d'une semaine d'activité. Tant que tu t'amuses, que tu donnes signe de vie : tu pourrais répondre à un rp au mois que ça ne me dérangerai pas. Car tout le monde à une vie. J'en ai une assez chargée merci. Alors tu vis la tienne, tu prend le temps de manger, de dormir et le tour est joué ! ~
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Sujet: (m/libre) au choix 
candice wolfswood : Vous deux. C'était peut-être trop beau. Trop tôt. Trop précipité. Trop pur. C'était nouveau pour tous les deux, ce sentiment qui renverse le coeur et les entrailles. Vous vous êtes lancés dedans la tête première et vous n'avez pas regarder les misères qui pouvaient s'élever devant. Un enfant. Une panique. Une bombe. On dit que parfois, un nouveau-né règle le venin des couples. Ça a brisé le vôtre. Par votre inexpérience et votre peur. Vous vous parlez encore au téléphone. Ça vous arrive encore aujourd'hui de vous croiser pour un café. Douze ans que vous n'êtes plus ensemble et pourtant, y'a encore ce fil rouge qui ne semble pas vouloir se briser entre vous deux. Parce que t'as été le seul à faire battre son coeur d'une manière qu'elle n'aurait jamais pu croire imaginable. Et que tu ne cesses encore de le faire chanter d'une mélodie mélancolique. Et derrière la porte fermée, vous ne savez toujours pas si vous faites une gaffe ou si des portes s'ouvrent devant vous. 
orion wolfswood : En résumé, c'est ton fils. Le pauvre a pris des mauvais plis. Pas assez d'attention. Pas assez de communication. Trop souvent abandonné chez les grands-parents. L'attention, il la pêche ailleurs. Il la pêche dans les rues. Il la pêche là où on se sent fort. Là où les bêtises peuvent faire mal. Là où il se sent prisonnier. L'père, il ne le voit pas, il ne le voit plus. Des cadeaux perdus à chaque anniversaire. Des mensonges, des rêves. Orion, il n'a pas de héros.